"Je mets aujourd’hui en place de nouvelles technologies spatiales comme des composants électroniques ou des systèmes pouvant opérer en environnement extrême
, raconte Philippe Adell. Je suis aussi support de projet pour les tests interplanétaires et veille à ce que l’électronique embarquée sur des missions allant étudier Jupiter ou Mars par exemple résiste à l’environnement spatial."

C’est à POLYTECH qu’il a acquis les bases de la physique et la curiosité nécessaire pour réaliser ses rêves de cosmos. Son diplôme en poche, il a ensuite obtenu un master et un doctorat à l'Université de Vanderbilt, Nashville, Tennessee.

"Je m’investis aussi beaucoup dans la fondation Van Allen, au Centre spatial universitaire de Montpellier, poursuit-il. Celle-ci propose des stages étudiants à la NASA pour participer au développement de projets de nanosatellites. Depuis 2012, je sers de liaison entre la NASA et le Centre national d'études spatiales (CNES) sur cette problématique.»

Amoureux de sa région natale, Philippe Adell revient régulièrement à Montpellier.

"Je me souviens de l’ambiance excellente qui régnait à POLYTECH, se remémore-t-il. En plus d’une solide formation, l’école aide à nouer des contacts professionnels dans les laboratoires. J’encourage les étudiants de POLYTECH à s’engager au plus tôt dans la voie des stages professionnels et surtout à croire en leurs rêves."

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